mardi, janvier 08, 2008

Les grands menteurs avouent leurs grands mensonges,
en effaçant tous les textes et tous les commentaires de leurs sites
à la demande de madame le Maire.


Madame Ceccaldi s’est attribué le titre de notaire, sur le site du Who’s Who, de clerc de notaire sur le site de l’Assemblée Nationale, enfin celui de titulaire d’une capacité en droit délivrée par l’Université d’Assas.

L’ancien Maire a fait savoir que sa fille ne possédait aucun de ces titres.
Mentir sur des documents officiels, c’est être une menteuse officielle, atteinte par un délire paranoïaque et par des troubles de la personnalité.

Un conseiller municipal, préoccupé par le problème de sa reconduction sur la liste du sortant, a répondu que les diplômes n’ont aucune importance, sans démentir que madame Ceccaldi s’était donné un titre qu’elle ne possède pas.

Un employé municipal, écrit que les biographes du Who’s Who vérifient les titres que se donnent les abonnés, et que donc madame Ceccaldi aurait dit vrai. Et bien non, il est prouvé qu’elle a menti.

L’ancien Maire a révélé une appréciation de madame Janette Ceccaldi sur sa fille, quelques mois avant sa mort. Une employée de base, a répondu, sur ordre de madame le Maire, que cette réflexion n’avait pas pu être faite puisque madame Janette Ceccaldi était morte en fin de journée.

Son mari a fait condamner par le tribunal correctionnel les chirurgiens imprudents. Joëlle n'assistait même pas au procès.

En définitive madame Janette Ceccaldi, que tout le monde a admiré, a bien dit :
« méfie-toi de Joëlle tu ne la connais pas ».

Les mensonges par plumitifs interposés révèlent à quel point Janette Ceccaldi portait sur sa fille un jugement exact.

Qui peut encore penser que madame Joëlle Ceccaldi la menteuse dangereuse pourrait être digne de les représenter?

Madame Joëlle Ceccaldi n’a pas les qualités morales pour administrer la ville.

Enfin, sur ordre de madame le Maire, le conseiller municipal inquiet pour son avenir, a écrit que Charles Ceccaldi n’est qu’un modeste démuni, tandis que son épouse disposait
« de gros moyens et de biens importants. »
Tout naturellement la question est posée à cet individu de donner la localisation des gros moyens ?

On aura peut être pu s’étonner que madame Joëlle Ceccaldi, qui habitait un logement HLM au chemin vert, avec loyer payé par une association caritative, a pu quelques années après son divorce, s’offrir la villa la plus chère de Puteaux.

On commençait à raser le précipice.
Le petit employé a effacé tous ses écrits et tous les commentaires sur les trois sujets, qui viennent d’être évoqués.

La vérité éclatera. Ils auront bonne mine ces plumitifs asservis quand la vérité, toute la vérité éclatera au grand jour.
Ils auront honte d’eux même, de leurs insultes, de leurs injures, de leur médiocrité, de leur méchanceté.
Nul ne leur pardonnera.

Ils ont effacé leurs écrits mensongers. Tout a été enregistré.

C’est madame Joëlle Ceccaldi qui doit être écartée de toute responsabilité publique, dont elle s’est révélée indigne. Des tonnes de cadeaux, ne pourront effacer cette pyramide d’infamies.

La caricature de poème sur la vieillesse, s’applique parfaitement à madame Joëlle Ceccaldi, malgré l’abondance de fautes de grammaire et d’orthographe du plumitif.

A plus de 82 ans on peut vouloir remettre le train municipal sur les rails.
A 30 ans on peut incarner le renouveau.
A près de 60 ans, on est loin du renouveau, surtout quand les facultés mentales se réduisent au mensonge.
La Voix