mercredi, février 28, 2007

Jusqu’à mon dernier souffle.



Mes adversaires conduits par ma fille, sans respect pour son père, auquel elle doit tout, font courir le bruit que je vais quitter Puteaux pour la province.


Après avoir souhaité ma mort, elle souhaite mon départ. Ma santé de fer inquiète. J’ai décidé de louer ma maison de corse dont je ne suis que l’usufruitier. Je paye l’impôt et les frais et ma fille se délasse avec ses enfants, et des amis de ses enfants, dont certains recrutés depuis en mairie.


Pour mes vacances, je cherche à louer avec le produit du loyer un appartement sur la côte. Peut être à acheter, si j’en ai les moyens. Pour moi adieu la Corse, où j'ai fait construire Caprone, inauguré en présence de ma mère. J’y reviendrai, occuper le caveau familial à côté de mon épouse et de mon fils décédés, qui m’attendent.


Mais je ne quitte pas Puteaux. Je n’abandonne pas la lutte pour la ville. Je dois la libérer de l’incompétence et de la dictature . Je ne quitte pas le champ de bataille.
Je combattrai, pour Puteaux jusqu’à mon dernier souffle.

La chanson d'amour n'est pas terminée.


Charles Ceccaldi-Raynaud

Sites hostiles respectables.



L’article d’un porte parole, de madame le Maire sur le clientélisme, ne m’a pas choqué.
Mon interview à l’Express expliquait que je ne pratiquais pas le favoritisme, et que mon action était tournée vers les classes modestes. Les secours n’allaient pas à n’importe qui.


En revanche, le commentaire ordurier et débile que le patron du site a laissé paraître, après l’article, n’est pas tolérable.
Une action qui s’appuie sur la lie de la société, ne peut que révulser les gens polis et honnêtes.


Le propriétaire du site est aimé de sa fille. Une fille doit avoir du respect pour son père, sinon elle n’en a pour personne. Donc il la protège.


Il sait bien pourtant que c’est elle qui a donné au garage municipal, les ordres au nom de madame le Maire, pour mettre des cars payés par la ville à la disposition de militants en promenade d’agrément.


Ces méthodes de favoritisme s’appellent : abus de biens sociaux, prise illégale d’intérêt, faux et usage de faux en écriture publique.


Quand on utilise à des fins illicites la lie de la société, on perd toute considération.

Le cloaque est incontournable. On s’y expose aux ennuis mérités.

mardi, février 27, 2007

Patrick Devedjian interrogé par Christophe Barbier sur LCI

Ci-dessous : le lien vers l'Interview de Patrick Devedjian, Député des Hauts de Seine, Conseiller politique de Nicolas Sarkozy

http://tf1.lci.fr/infos/elections-2007/0,,3400850,00-patr...

dimanche, février 25, 2007

responsabilité juridique

Gérald

Vous êtes juridiquement responsable des commentaires publiés sur votre blog.

Vous êtes donc responsable de diffamation, autant que l'internaute condamnée pour d'autres faits et polluant, avec votre accord, votre blog. Et en assumerez les conséquences logiques.

samedi, février 24, 2007

Un texte qui m’honore



Il y a clientélisme et clientélisme. Je n’ai pas hésité comme on vient de le rappeler à exposer au grand jour mes réserves dans ce domaine. Je n’ai rien caché.
J’ai pratiqué un clientélisme modéré et surtout pour tous, selon un oxymore, que j’ai employé.
Ce n’est plus le cas actuellement.


Je n’ai négligé aucun niveau social et j’ai privilégié les plus humbles.
Ce n’est plus le cas actuellement.
J’affirme dans le texte cité, que je n’ai demandé à personne parmi les éventuels bénéficiaires d’un choix nécessaire, de voter pour moi.
Ce n’est plus le cas actuellement.
Comme l’a révélé l’élection des représentants des locataires HLM.


Enfin je parlais d’ampleur, ce qui signifiait qu’il y avait une limite.
Ce n’est plus le cas actuellement.
Il n’y a plus de limite.


Avant l’agression du porte voix de madame le Maire, j’ai hésité à trop en dire sur certains voyages en car, alors que c’est mon devoir. Après l’agression, le contexte devient nouveau.


Je terminais ma conversation avec l’Express en disant : « après moi on verra ».
Justement on voit.
On voit un déchaînement de favoritisme en faveur des plus aisés sans précèdent, qui fait injure à la loi de la démocratie sur les comptes de campagne.
Je n’ai jamais pratiqué ce clientélisme abusif, indécent, antidémocratique.

Je le condamne et la population victime de discrimination le condamne aussi

C.C.R

Le glas de l'Interim a sonné

Gérald,

que vous ayiez la reconnaissance du ventre en raison de la situation de votre fille et de votre femme, qui l'une et l'autre travaillent à la Mairie se comprend aisément.

Point de dissertation nécessaire sur ce fait. Votre situation vous oblige. Nul besoin de s'étendre sur votre "servitude volontaire".

Quand viendra la nouvelle équipe, en mars prochain, les obligés seront libérés.

Votre sens de l'observation vous aura permis de constater qu'aucune personnalité politique d'envergure n'a daigné se montrer à la cérémonie des voeux de notre ville, à la trouble gestion.

Votre servilité n'y changera rien. L'intérim s'achèvera en mars 2008. Une nouvelle équipe, compétente, dynamique, composée de nombreux jeunes talents et d'incontournables personnalités de la ville assurera le redressement impulsé par Charles Ceccaldi-Raynaud.
Puteaux redeviendra une ville à l'exemplaire gestion.

La compétence n'est pas l'exlusive d'un groupe, ou de quelques uns. Aussi la relève incarnera-t-elle une ouverture vers l'excellence. Par-delà les apparences. Le talent sera l'essentiel critère.



jeudi, février 22, 2007

Le clientélisme permanent s’élève à la Clusaz



Le clientélisme rassemble un ensemble de méthodes, afin de donner à une catégorie de personnes spécialement recensées, des prestations auxquelles elles ont droit, et qui leur sont présentées comme une faveur.


Le champ d’action reste très large : place de crèche, logements sociaux, réservation dans les villages de vacances, secours du comité d’action sociale, réception en mairie ou ailleurs, distribution continue de cadeaux et de gateaux, voyages au profit d’adolescents, accompagnés par des élus propagandistes.


Seul ont accès à ces prestations, ceux que l’entourage du Maire a repéré, comme susceptibles de se laisser attacher par une faveur dont ils ont en partie payé le prix.


Le plus extravaguant c’est que ceux qui ne sont invités à rien, payent une part des avantages offerts aux privilégiés qui bénéficient de tout.


Nous sommes en période de vacances scolaires. Les parents ont souhaité une chambre à l’hôtel municipal de la Clusaz. Le choix des réservataires c’est fait dans le but d’appréhender les suffrages.


Madame le Maire a joué sur tous les tableaux les plus intolérables dans une démocratie. Non seulement elle s’est mise elle-même en vacance avec quelques sympathisants, mais elle a pu aussi se mêler au peuple choisi, dont elle sollicitera la reconnaissance.


En difficulté dans tous les domaines, madame le Maire n’a qu’un moyen à sa disposition, le clientélisme tout azimut et sans vergogne dans des proportions interdites par la loi.


Les oppositions font appel à des sentiments plus nobles.
Les opposants disent que ces prétendues faveurs sont dues à quiconque les reçoit et que ceux qui les reçoivent ne sont redevables de rien quoiqu’on leur laisse entendre.


Dans la brume de l’altitude, madame le Maire va essayer de dissimuler sa férocité, derrière quelques singeries électorales.

mardi, février 20, 2007

l'Aveu

dans les sites favorables à Boumendil, plus un mot sur la légion d'honneur.
L'aveu du silence.
Tout ce qui a été dit est vrai.

lundi, février 19, 2007

Photo site de l'office du tourisme de Tarascon,
Tartarin



Nous apprenons ce matin, ce que nous ignorions. Le nommé Henri Boumendil aurait été décoré de la légion d’honneur, pour avoir participé, à l’épopée de la libération.



Si c’était vrai il aurait été fait chevalier à titre militaire.
On peut rappeler les faits plus précisément. A l’occasion de plusieurs visites à la mairie de Neuilly, Boumendil demande la légion d’honneur à titre civil. Le Ministre ne s’engage pas.



Le jour du Kippour, en ouvrant la portière arrière de la voiture ministérielle devant l’entrée nord du marché couvert, Boumendil renouvelle sa demande au Ministre, devant le public qui entoure la voiture.


Le Ministre répond : "je la donnerais si le Maire me le demande publiquement." Le Maire se trouve placé par la demande publique inattendue de Boumendil, dans une situation d’inélégance par rapport à un hôte illustre. Le Maire répond quand même favorablement.



L’année suivante, dans le cadre des cérémonies du Kippour, qui ont lieu au théâtre de Puteaux, Boumendil, dans son discours écrit, appelle plusieurs fois le Ministre : "monsieur".



Le Ministre fait un bond. Il dit : " appelle-moi Nicolas ou Monsieur le Ministre. Apprends la politesse. Le ruban n’est pas venu tout seul sur ta veste."


Ce fut la honte de la journée.

samedi, février 17, 2007

Retrouvez-ci dessous les explications de mon collègue et ami Patrick Devedjian, Vice-Président du Conseil Général et Député des Hauts-de-Seine, relatives à la politique du département en matière de transports.

Cliquer : ici

vendredi, février 16, 2007

Madame le Maire sème la division partout



Elle n’a rien fait pour la ville. Elle a augmenté l’impôt inutilement.

_Elle a passé un avenant de 7 millions d’euros le plus important de l’histoire de la ville. Elle a eu recours aux petites irrégularités.

_Elle a capitulé devant l’EPAD. Elle a sacrifié l’intérêt de la ville et de la population sur l’autel de ses intérêts particuliers.

_Elle a doublé le prix de revient d’une place de crèche en achetant la maison Koubi. Elle a acheté l’église évangélique sans en connaître le propriétaire. Elle s’est inclinée devant Bouygues.

_Elle a sanctionné une centaine de fonctionnaires pour non ralliement à sa petite personnalité.

Mais surtout elle a semé la division partout jour après jour.
Elle a d’abord fait exploser sa famille. Elle doit tout à son père. Elle combat avec férocité l’homme qui l’a imposée, alors que son inculture ne la prédestinait pas aux responsabilités.
Elle voudrait l’éliminer. Mais le vieux chêne résiste.

Elle a mis la pagaille chez les musulmans. Elle a promis une mosquée mais pas la où ils la souhaitent.
Elle a tenté de diviser les portugais. A coup de prébendes et de passes droit, elle essaye de créer un petit comité d’affidés serviles. Elle ne possède pas le bac. Le clientélisme c’est son doctorat à elle.


Elle vient d’introduire la division dans la communauté juive. Pour y parvenir elle utilise l’analphabète Boumendil.
La communauté juive de Puteaux a toujours été animée par des présidents de qualités. D’abord le créateur Gilbert Attal. C’est lui le fondateur de la communauté. C’était un homme de bien et de culture. À ses côtés se trouvait le vieux Elie Korchia, dont la bonté inspirait le respect général. René Amsellem lui succéda.

Un homme d’action est nécessaire en cas de difficultés comme maintenant. Jean Korchia qui assura la présidence une fois la stabilité rétablie, est décédé prématurément. Il a laissé un souvenir inoubliable. Son fils a pris le relais pesant.


Après toutes ces grandes personnalités, ce n’est pas un Boumendil dévoré d’ambition, écrasé d’incapacités qui peut tirer les ficelles au profit de madame le Maire, qui ne sait rien de l’épopée juive et de sa mission au service de l’humanité.


Boumendil n’ignore pas qu’il est fini. Alors il multiplie les intrigues obscures, les coups bas, les basses séditions, les ignobles machinations.
Madame le Maire multiplie les dîners en mairie. Venez, c’est la mairie qui offre.

Hier aux côtés du vilain Boumendil elle a promis devant la table mise que les juifs ne payeraient plus ni l’eau ni l’électricité à la synagogue. Aucun juif n’acceptera d’être humilié par ces atteintes répétées à la laïcité de la République.


Je n’ai à donner ni conseil ni avis.

Il appartient au consistoire d’exercer son autorité. Il appartient à René Amsellem de mettre toutes ses forces au service de la cohésion retrouvée. Il appartient à Elie-Steve Korchia de rendre à la communauté son image d’indépendance, de moralité et de spiritualité.


Charles Ceccaldi-Raynaud

lundi, février 12, 2007

A la Défense nouvelle capitulation de madame
le Maire,




Vous avez été informés que madame le Maire, issue de la nomination, a accepté de verser pour l’année 2007 une contribution de 1 million d’euros à l’EPAD pour les frais d’entretien L’ancien Maire a déjà attiré l’attention sur l’irrégularité de ce versement.
Prenant conscience de cette irrégularité, le Gouvernement a fait voter dans l’urgence une loi défavorable aux communes de la Défense.
Madame le Maire de Puteaux aurait pu obtenir, du président du conseil général qu’il applique la loi existante plus favorable aux communes, au lieu de la loi actuelle qui vient d’être votée en fin de session, et qui fait fixer par le conseil général le montant des frais d’entretien que les communes devront payer.
Une fois de plus madame le Maire de Puteaux ne fait pas le poids au détriment des Putéoliens, pour s’opposer à celui dont selon le Parisien (en date de novembre dernier), elle ne devrait plus être la suppléante.

Le programme

Sur 71 tours représentant 3 millions de m² de bureaux, 17 tours anciennes ou hors marché seront refaites. Ces 17 tours représentent 650000 m².
Ces travaux vont durer 10 ans. Les voisins devront en supporter les nuisances pendant cette longue durée.
Par ailleurs la construction de 800000m² de tours neuves jusqu’en 2015 a été autorisée.
Encore de la surconcentration, encore des travaux, encore des nuisances, encore de la défiguration liée à l’excès.

Gestion

Désormais un établissement public local, assurera la gestion de la Défense, tandis que l’EPAD réalisera les constructions nouvelles.
Nous avions un EPAD, nous en auront deux sous dés formes diverses.
Un décret élaborera les règles d’urbanisme applicables sur tout le territoire de la Défense. Les communes perdent pour toujours leurs compétences urbanistiques, alors qu’il s’agissait de les leur rendre. Le conseil d’administration du nouvel établissement est composé de représentants du conseil général et des deux communes.
Le conseil général disposera de la majorité des sièges.
Le conseil général devient le maître de la Défense par-dessus les compétences légitimes de droit commun de toutes les communes de France.

Ressources

Les ressources de l’établissement comprennent les concours financiers demandés aux collectivités. C’est une erreur de croire que les communes vont continuer de percevoir la taxe professionnelle sans supporter les dépenses d’entretien comme ce fut le cas pendant 35 ans grâce à l’opposition farouche de l’ancien Maire de Puteaux. Désormais non seulement les communes payeront les dépenses d’entretien, mais c’est le conseil général et non les communes qui fixera le montant des contributions que les communes devront payer.
Les communes perdent définitivement leurs compétences sur un tiers de leur territoire, hier au profit de l’Etat, demain au profit du conseil général majoritaire, habilité à fixer la contribution des communes associées.
Aucune commune de France ne connaît un tel désastre. Une commune comme Puteaux exposée à de tels périls, ne peut être gérée et défendue par un Maire inculte inexpérimenté et demandeur pour lui-même.
L’ancien Maire a su percevoir la taxe et ne pas payer les frais d’entretien, Demain, si comme tous les candidats l’annoncent, la taxe professionnelle est supprimée, la Défense ne rapportera plus à Puteaux que des dépenses et des dépenses fixées par une autre collectivité.
Un scénario catastrophe.

samedi, février 10, 2007

Handicap

L'Institut Baguer accueille, à Asnières, des enfants et adolescents mal entendants.

Retrouvez ci-après, en cliquant sur son prénom, le podcast de Cyrille DECHENOIX, Président de l'Institut Baguer, Conseiller Général et Adjoint au Maire d'Asnières.

Cette réalisation s'inscrit dans la lignée des priorités initiées par mon ami Jean-Paul Dova, précédemment en charge de ces dossiers au Conseil Général.

(Source : blog du groupe UMP au Conseil Général)

jeudi, février 08, 2007

Une employée municipale condamnée


La mairie ne serait-elle que le repaire des incompétences et des coups tordus?

Une employée vient d’être condamnée pour coups et blessures à :
-600 euros d’amende,
-1200 euros de dommages et intérêts et
-à 700euros de remboursement de frais médicaux.

Sur son blog, l’employée avait nié toute agression, elle n’était même pas sur les lieux.

Aujourd’hui sur le même blog du 07/02/2007 elle reconnaît :" avoir tiré les cheveux et donné une gifle d’une grande force".

La victime a été hospitalisée et a fait l’objet d’un arrêt de travail de deux mois et de menaces de mort : voilà pour la vérité.

La condamnée a cru que la fréquentation intime de madame le Maire la protégerait de la justice pénale.

Cette année elle a été érigée au rang de personnalité locale et a été invitée à la grande réception.
Madame le Maire lui a fait verser un secours de 750 euros, alors que deux traitements rentrent dans cette famille.

Le 2/01/07 la condamnée écrit pourtant sur son site : « je ne suis pas à 140 euros près par mois ».

La femme condamnée fait figure de symbole dégradant de la mairie depuis près de trois ans.

Il faudra bien nettoyer les écuries d’Augias.

Les putéoliens veulent un Maire qui possède quelques notions élémentaires de morale.

Qu’attend la condamnée pour faire appel ?

Il est vrai que moralement c’est madame le Maire qui est condamnée.

Les photos du commissaire sur chaque numéro du magazine municipal ont été sans effet.

permis de conduire et réussite scolaire

Sur son blog, Gérald soutient que Ségolène Royal n'innoverait en rien en proposant le financement du permis de conduire aux titulaires du CAP puisque Puteaux le fait depuis de longues années.

Gérald serait plus précis dans ses informations en spécifiant que c'est Charles CECCALDI RAYNAUD qui a mis en place cette récompense du mérite républicain.
Les putéoliens réussissant leur bac ou autre examen avec mention, peuvent ainsi bénéficier du financement du permis de conduire.

dimanche, février 04, 2007

Un sadique à la roseraie dans l’île


Hier, samedi 3 février, vers 16 heures, une petite fille de 6 ans environ s’est éloignée dans la roseraie.


Un homme d’une trentaine d’années s’approche d’elle. Il l'’immobilise, baisse son pantalon, se masturbe devant la petite fille et disparaît dans un fourré.

La petite fille est désorientée. Un agent de surveillance municipale l’aperçoit, et se précipite à son secours. Elle est choquée. Elle murmure son aventure. L'émotion étouffe ses sanglots.


Le policier de surveillance rassure la petite fille désemparée.
Il appelle sa hiérarchie et la police nationale. Il signale l’urgence. Il faudrait un motocycliste rapide. Une voiture arrive trop longtemps après. Le sadique reste introuvable. Il a réussi à s’échapper. C’est un échec pour la société.


La petite fille a subit un traumatisme. Une réaction plus rapide sous commandement efficace aurait pu permettre d’interpeller l’exhibitionniste impuni.


A l’opposé, le simple agent de surveillance mérite les plus hautes félicitations.


Pour l’instant, il n’a rien reçu.


Charles Ceccaldi-Raynaud

vendredi, février 02, 2007

L’alcool a coulé à flot.
Une partie de la nourriture a pourri.
La loi a été bafouée.



L’infraction à la loi sur les comptes de campagne été commise tous les jours.
Des milliers de personnes ont été invité à la grande bouffe de la mairie.
On parle de personnalités locales. La lie de la société était mêlée à des personnalités honorables et respectables. Les bénis oui-oui occupaient la grande salle à manger du Maire.
La dépense a été portée à un niveau jamais atteint nulle part dans le pays.
La grande réception a coûté à elle seule, plus d’un million d’euros.
Toute l’activité de la ville est destinée à capter les suffrages.
C’est le seul moyen à la disposition d’un Maire qui n’est pas à la hauteur de la fonction, ni intellectuellement, ni moralement.
Ce procédé humiliant, la loi sur les comptes de campagne l’a interdit sous peine de sanctions pénales et d’inéligibilité.
Le Maire ne respecte pas la loi. Dailleurs elle ne la connaît pas.
Les putéoliens qui ont été sollicités ont bien fait de répondre aux invitations. Ils savent que ces sucettes ne leur font pas perdre leur dignité.
L’indignité c’est le Maire qui la porte en imaginant, qu’on peut acheter les consciences. C’est juger les autres d’après soi même.
Il faut donner une leçon à madame le Maire au sourire forcé d’hôtesse d’accueil embarrassée.

Les lampions se sont éteints après avoir englouti un autre million d’euros.
Strasbourg, classée ville lumière a dépensé 500 000 euros.

Peut être madame le Maire, après la fête permanente, va-t-elle trouver un moment pour travailler, alors que l’immobilisme paralyse la ville, et que l’insécurité menace la population.

Petite erreur,

Madame Jeanne parle d’une période qu’elle n’a pas vécue.
Mon prédécesseur n’a pas démissionné pour raison de santé, mais je trouve élégant de le laisser croire.
Le monsieur dont j’ai fait l’éloge, et qui a de la famille à Puteaux, a été amnistié par un arrêt de la cour de cassation. Rappeler des faits amnistiés constitue un délit.
Soyez prudente madame.
Ne vous trompez pas d’ennemi.