vendredi, juin 30, 2006

Repas dans la grande salle à manger madame le Maire se protège
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.Nous avons indiqué que depuis le retour de Londres les activités de mastication ont repris tous les jours, sauf empêchement, dans la grande salle à manger.
madame le Maire a fait colmater les interstices des portes d'entrée de la cuisine à la hauteur du couloir du hall administratif. Résultat nul. La lumière de la cuisine privée se voit de l'extérieur.
Madame l'interimaire a fait apposer une plaque avec une inscription. D'habitude ces plaques sont destinées à honorer une personne.
Dans le cas du Maire intérimaire, la plaque interdit l'entrée dans la cuisine face à l'entrée du caveau destiné au repas du personnel, des élus de petit grade et de leurs invités limités à un.
Or il n'est pas besoin de pénétrer dans la cuisine, au niveau du couloir du caveau pour voir monter la nourriture dans la cuisine attenante à la grande salle à manger et de voir redescendre les restes.
Enfin les poubelles sont proches et remplies de ces restes destinés à être jetés. Rien pour les pauvres privés de tout, et que travaille la faim. Les poubelles remplies par les restes des invités de l'intermédiaire valent une fortune.
Ces mesures dérisoires, expriment deux vérités:
Le Maire intérimaire veut cacher l'utilisation intempestive qu'elle fait de la grande salle à manger proche de son bureau.
Les mesures prises sont totalement inefficaces, comme tout ce qu'entreprend l'interimaire et fait tordre de rire les cuisiniers et leur personnel.
Les coutumiers du caveau liront à leur tour la plaque et se demanderont ce que le Maire veut cacher et pourquoi.
Rappelons que les dépenses de bouche s'élèvent à Puteaux à un chiffre extraordinaire. Cet himalaya de dépenses additionnées finissent par attirer l'attention, lors du vote des budgets, malgré toutes les astuces minables utilisées pour faire du budget le tunnel obscur de l'intermédiaire, à la barbe des bénis oui-oui, qui lisent ce qu'on leur écrit.
La Voix

La plus belle piscine de France inaugurée par une intruse
L’usurpatrice à la manœuvre



Cette piscine, le Maire de l’époque l’a entièrement dessinée, lui-même, avec amour.
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La preuve en est que cette réalisation s’est construite sans le concours d’un cabinet d’architecte.
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En raison de sa mauvaise gestion, l’usurpatrice n’a pu la financer qu’en plongeant une main avide dans les réserves financières abondantes que le Maire a laissées en partant, et en augmentant l’impôt.
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Le Maire intérimaire inaugurera une réalisation exceptionnelle à laquelle elle est étrangère, alors que le Maire réalisateur n’est pas invité.
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L’usurpatrice dépouillerait son père pour se hisser sur le pavois, duquel le peuple la descendra.
La Voix

UN BANQUET UMP DE PUTEAUX COMPLETEMENT RATE
Le défilé du doute sous la tente, s'est terminé assez tôt le 28 juin. Ce système de la tente a été copié sur ce qui se fait à Asnières. Madame le Maire aime bien imiter.
La tente, c'est l'habitation des nomades. Le symbole exprime l'idée que les nomades ne deviennent pas des citadins.
Au cours de ses entretiens fugitifs, madame le Maire intérimaire fait des promesses, dont elle sait qu'elle ne les tiendra pas , sauf pour quelques amis proches, surtout ceux dont les parents d'employés sont présents près de la tente et participent à la mascarade pour les autres.
Madame le Maire s'est faite interpeller et ses explications embrouillées n'ont satisfait personne.
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Après la tente, le restaurant pour les amis. Le prix 33 euros. Le restaurateur était inquiet. Un commerçant ne fait pas de politique. Il a prétendu avoir reçu, en raison de ses réticences, un coup de télephone d'un responsable de la police municipale. Sans cette intrusion, il n'aurait pas accepté de transformer son restaurant en réunion politique, a t-il dit pour se justifier.
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Qui participait à ce repas à coût élevé pour des militants? Les infidèles et les moins fortunés ont été écartés d'autorité. Une telle épuration par l'argent ou la servilité n'a pu manquer de provoquer la colère face à l'injustice
. Devant le restaurant, plusieurs voitures de police municipale ont circulé autour de l'établissement ou ont stationné devant l'entrée pendant toute la durée du repas.
La police municipale a pour mission de protéger les putéoliens. Le Maire intérimaire n'a pas le droit de la soustraire à ses obligations pour assurer sa sécurité personnelle.
Pour comble de la surprise, l'ancien Maire est venu dans le même restaurant consommer un verre d'eau en fin de soirée. Stupeur!
Les prétendus militants après avoir prolongé leur présence au-delà de l'heure légale de fermeture, ont dû se résoudre à défiler l'un derrière l'autre le regard fixé sur la porte de sortie.
Madame le Maire intérimaire est passée devant son père sans le saluer même de loin et sans lui jeter le moindre regard filial.
Sans doute estime t-elle qu'il n'a pas fait assez, une vie durant, pour elle et pour ses enfants.
Un restaurant normalement ouvert à tout public, a servi de siège social à une section politique, du moins à la partie infime, qui n'en avait pas été exclue pour délit d'opinion. Seuls les bénis oui-oui étaient invités.
Le public de la réunion était largement dominé par des employés de Mairie et au moins un fournisseur de la ville connu, les autres nous étant inconnus.
La Voix

jeudi, juin 29, 2006

nominations

Nous saluons la nomination de Philippe Juvin, en outre secrétaire départemental adjoint de l'UMP 92, en qualité de Président de Commission nationale de l'UMP sur les Relations entre l’Hôpital et les soins en ville.
Cette nomination consacre le talent et les compétences de Philippe Juvin, Professeur de médecine et chef du service des urgences de l'hôpital Beaujon.

Nous saluons également la constitution d'une commission relative à la protection animale, présidée par le Député Lionel Luca.

Voyages au bout du pourboire
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Madame le Maire intérimaire rentre de Chine. Aussitôt, elle est partie à Londres aux frais de la ville.
Ce qui choque dans ces déplacements, parfois lointains, onéreux toujours, c'est la présence d'un entourage inutile et excessif. Le motif de cette assiduité injustifiée, reste sans rapport avec l'objet du voyage.
La raison est ailleurs.
Le conseil des jeunes est un des prétextes déguisés pour donner une apparence de justification à la présence de ces personnes privilégiées et serviles. Que vient faire la lugubre directrice de cabinet , installée dans de luxueux bureaux somptueusement réaménagés, dans ces faux accompagnements où elle n'accompagne personne.
Pendant quelque jour la grande salle à manger est demeurée vide. L'entourage du Maire en déplacement à Londres avait changé de nourriture.
A leur retour, la grande salle sera de nouveau envahie.
Les excès de victuailles gaspillées iront remplir les poubelles cachées.

Nice : deux membres de l'entourage du Maire mis en garde à vue pour corruption présumée,
Un membre du cabinet est en garde à vue pour trafic d'influence, dans le cadre d'une acquisition de terrain. Le chef de la police municipale est aussi en garde à vue.
Le maire avait été averti que ces deux personnages, à qui il faisait confiance, lui porteraient tort, un jour ou l'autre.
Les collaborateurs dont on ne peut pas se séparer demeurent, sauf exception, un mauvais présage.

lundi, juin 26, 2006

Une chienne appelle les urgences et sauve son maître

Sa chienne le sauve en composant le numéro des urgences
lefigaro.fr (avec AFP)
19 juin 2006, (Rubrique People & Insolite)
"Pris d'un malaise dû à son diabète, l’américain Kevin Weaver, n'a dû son salut qu'à Belle, son beagle de 3 ans, qui a su non seulement diagnostiquer son état mais appeler le 911 à temps.
Belle est le premier animal à recevoir lundi le prestigieux prix de la fondation VITA, qui vise à promouvoir le rôle des téléphones portables dans les situations d'urgence. Une récompense méritée puisque la chienne a sauvé son maître diabétique en composant seule le numéro des urgences. « Je suis convaincu que si Belle n'avait pas été avec moi ce matin-là, je ne serais plus en vie aujourd'hui », a déclaré Kevin Weaver, son propriétaire. « Belle est plus que mon sauveur - elle est ma meilleure amie », a-t-il ajouté.
Détecteur de diabète
Kevin Weaver achète Belle quand elle a deux ans, pour lui tenir compagnie. Mais après avoir entendu parler d'une association spécialisée dans le dressage des chiens pour diabétiques, il décide de lui faire suivre ce programme.
Belle apprend à repérer le niveau de sucre dans le sang de son maître, rien qu'en le léchant et en reniflant le bout de son nez plusieurs fois par jour. Quand le sucre chute à un niveau insuffisant, elle peut le prévenir en gémissant et en lui donnant quelques coups de patte.
La chienne compose le numéro des urgences
Le 7 février dernier, Kevin Weaver ne se sent pas bien en se réveillant, chez lui à Ocoee en Floride. La chienne gémit et lui donne un coup de patte, mais il croit seulement qu'elle veut sortir. Quelques minutes plus tard, il fait un malaise.
Aussitôt, Belle trouve le téléphone portable de son maître et appuie sur le 9 avec les dents, comme elle l'a appris durant son dressage. Le numéro des urgences étant programmé, l'ambulance est sur les lieux quelques minutes plus tard. "

dimanche, juin 25, 2006

Corse, terre d'accueil et de tolérance


Au-delà des raccourcis idéologiques de certains, la Corse est une terre d'accueil. La seule région française où pas un seul juif ne fut déporté. Voir l'article d'Israël magazine.

msm

"L'histoire des Juifs en Corse remonte a plusieurs centaines d'annees. Les premieres traces d'une presence juive dans l'ile se situent aux alentours de l'an 800.
A cette epoque, une importante immigration venue d'Egypte s'est installee dans le Sud de la Corse ; une grande partie de ces femmes et hommes juifs parlaient et ecrivaient l'hebreu. La majorite d'entre eux s'est implantee a proximite d'un village denomme Levie (la bien nommee), situe a l'interieur des terres a 20 km environ de Porto-Vecchio .
Par la suite, les membres de la communaute se sont disperses un peu partout dans l'ile en devenant partie integrante de la population autochtone et dans certains villages de montagne, des eglises gardent encore la trace de documents rediges en hebreu a cote de ceux rediges en latin.
Bien des siecles plus tard, dans les annees 1500-1530, environ 1000 Juifs de la region de Naples trouverent refuge en Corse,fuyant tres certainement une persecution locale, et ils s'installerent dans les regions montagneuses du centre de l'ile.
En l'an 1684, la ville de Padoue, situee en Italie, qui etait peuplee en grande partie par des Juifs qui habitaient un ghetto edifie en 1516, fut le theatre de violences dirigees contre ses citoyens juifs, dont une partie faillit se faire lyncher.
Une rumeur malveillante selon laquelle leurs coreligionnaires de Buda, avaient commis des actes de cruaute contre les Chretiens de la ville hongroise, declencha cette flambee de brutalite dirigee contre la communaute juive de la ville.
C'est grace a l'intervention d'un pere Franciscain nomme Pere Marco qui ecrivit une lettre afin de denoncer cette mystification, que la communaute juive echappa au massacre annonce.
Une grande partie de la communaute juive de Padoue decida a la suite de ces evenements d'emigrer sous d'autres cieux plus clements. Certains arriverent en Corse, et les habitants les nommerent Padovani, ce qui signifie : venu de Padoue. Le nom de famille Padovani est un nom tres repandu de nos jours en Corse.

Les Rois de France expulsent les Juifs, les Corses les invitent pour regenerer l'ileMais la plus importante vague d'immigration juive qu'ait connue la Corse se situe entre les annees 1750 et 1769.

La premiere republique constitutionnelle et democratique d'Europe venant de naitre, le leader de l'epoque Pascal Paoli fit venir en Corse entre 5000 et 10000 Juifs du nord de l'Italie, ( les chiffres varient selon les sources) de Milan, de Turin ainsi que de Genes pour revitaliser l'ile suite a 400 ans d'occupation genoise. Afin de les rassurer sur leur integration et sur la volonte du peuple corse de les considerer comme leurs egaux, ce meme Paoli fit une declaration destinee aux nouveaux venus : "Les Juifs ont les memes droits que les Corses puisqu'ils partagent le meme sort". Cela fit comprendre aux Juifs qu'ils etaient des citoyens a part entiere et qu'ils beneficiaient d'une totale liberte de culte, ce qui n'etait pas le cas dans bon nombre de pays.

En realite, c'est plus de 25% de la population corse qui aurait des origines juives.
Ces immigrants portaient pour la plupart des noms a consonance ashkenaze, qui etaient tres difficilement prononcables par la population locale. Une partie d'entre eux etant roux, ils se virent affubles du surnom de Rossu qui signifie rouge et designe les rouquins ce qui donne au pluriel Rossi, nom extremement repandu en Corse.

En realite, c'est plus de 25% de la population corse qui aurait des origines juives.

En lisant les etats civils, on peut facilement s'en rendre compte : les noms tels que Giacobbi, Zuccarelli, Costantini, Simeoni... tres communs dans l'ile de Beaute, ne laissent planer aucun doute quant a leur origine.Le nombre peu important des membres de la communaute juive, ajoute au fait que les Corses n'ont fait aucune difference entre les originaires de l'ile et ces nouveaux venus, est tres certainement a l'origine d'un grand nombre de mariages mixtes qui declencherent une assimilation quasi-totale.

Malgre cela, les signes sur l'ile de beaute d'une ancienne presence juive y sont tres nombreux ; un exemple probant en est le nom d'un village Cazalabriva qui selon plusieurs sources concordantes viendrait de: casa di l'ebreo, litteralement la maison de l'hebreu (le mot juif n'existant pas en Corse). Ou bien encore, de nos jours dans certaines regions, il subsiste une tradition tres ancienne de donner aux nouveaux-nes des prenoms d'origine hebraique tel que Mouse (Moise) etc. ...

Plus proche de nous, durant la seconde guerre mondiale, alors que la Corse etait occupee par les fascistes italiens, les habitants de l'ile se mobiliserent pour aider les Juifs a se cacher. Avec les moyens du bord, ils aiderent hommes,femmes et enfants a se refugier dans les villages de montagne. Un haut fonctionnaire francais accomplit un travail admirable et, au mepris de sa vie, sauva a lui seul, plusieurs dizaines de Juifs. Il s'agit du sous préfet de Sartene Pierre-Joseph Jean Jacques Ravail. Il travaillait avec le reseau mis en place par les partisans de Paul Giacobbi, grand pere de l'actuel Député de Haute-Corse qui refusait d'opter pour la voie de la collaboration."
extrait d'Israël magazine, novembre 2004.

samedi, juin 24, 2006

Fête à l'école Jean Jaurès

Bonne ambiance à l'école élémentaire Jean Jaurès, Hier 23 juin une subvention venait d'être obtenue du conseil général pour le ravalement de cette école.

Le Maire des 35 glorieuses et conseiller géneral, a choisi la kermesse de fin d'année de cette école pour sa visite. Il a préféré sélectionner une école qu'il n'a pas construite, parmi beaucoup d'autres qu'il a réalisées.

Il a voulu ainsi rendre hommage à ses prédécesseurs, qui avec d'autres moyens, ont autant que lui, porté une grande attention à l'école laïque.

Bonne ambiance. Joie et allégresse chez les petits et chez les grands.

La Voix

La dalle de la défense ne supporte pas le poids de la grande fête.
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Nous écrivions hier que la fête à la Défense, qui attire une foule de curieux et de danseurs, présentait un danger d'affrontement.
Les services de sécurité viennent de faire savoir que la dalle centrale n'a pas été renforcée, depuis la dernière manifestation voici quelques années.
Une preuve de plus que le directeur de l'EPAD a complètement tort ou n'est informé de rien, quand il dit à la légère que l'esplanade doit devenir un lieux de festivités, sans évoquer les travaux nécessaires préalables. Encore un rassemblement aussi mal préparé, et la catastrophe sera au rendez vous.
A la Défense le pouvoir de police appartient au maire.
Le Maire interimaire de Puteaux n'a pris aucun arrété pour imposer un supplément de mesures de sécurité.
Qui cherche un second Furiani?
Monsieur Lang, à l'époque ministre de la culture, a voulu un grand spectacle à la Défense selon ses goûts. Le Maire des 35 glorieuses a pris un arrété d'interdiction, sauf plusieurs mesures à prendre immédiatement.
Ces mesures ont été prises par le ministre de l'Intérieur et le ministre de l'Equipement à la demande de monsieur Lang. Le Maire a pu retirer son arrété, la sécurité étant désormais assurée à sa demande.
Un Maire doit savoir s'opposer à un Ministre dans l'intérêt de la commune, et pour la sécurité des habitants. Un maire timide et poltron devant les hautes autorités et féroce avec le petit personnel, n'est pas à la hauteur de la fonction.
La Voix



Hier longue séance du conseil général :
deux subventions pour Puteaux.
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Hier le Conseil Géneral des Hauts-de-Seine s'est réuni avec un ordre du jour chargé.
La séance a été présidée de bout-en -bout, par le président de la collectivité, Nicolas Sarkosy, Ministre d'Etat.
En cours de séance, deux subventions on été votées en faveur de Puteaux.
L'une pour la rénovation de l'école élémentaire Jean Jaurès, l'autre pour le ravalement de l'école Benoit Malon.
La thèse selon laquelle Puteaux est assez riche pour n'avoir besoin de rien recule. Puteaux est désormais traitée presque comme les autres communes.
Le conseiller général de Puteaux a pu faire admettre que la richesse d'une commune n'est souvent que passagère, en raison de la frénésie du législateur de légiférer quasiment en permanence sur les finances locales, en constante instabilité.

vendredi, juin 23, 2006

La courage de la pertinence et la pertinence du courage. Ainsi résumerais-je le discours tenu par Nicolas SARKOZY hier soir à Agen. Nicolas Sarkozy a eu le courage de pointer la paupérisation d'une partie de la classe moyenne ainsi que l'inadéquation entre l'allongement de la durée d'études et la chute du niveau de vie afférent. Nicolas Sarkozy a eu la pertinence, à rebours d'une idéologie égalitariste oppressante, de justifier l'égalité des chances, garante d'une ascension équitable.
Nicolas Sarkozy a eu la pertinence du courage. Il n'a pas parlé des français comme d'une globalité, mais des difficultés éprouvées par chaque français. Les jeunes de la France rurale, bien que n'étant pas sous les feux de la rampe, ne souffrent pas moins que les autres. C'est en évoquant la spécificité de chaque situation qu'il a justifié la nécessaire égalité des chances. En cela il rassemble le peuple français par l'une de ses valeurs édificatrices. La reconnaissance des mérites.
Son courage fédère. Identifiées, et nommées sans ce spectre culpabilisateur brandi par les camarades idéologues, les valeurs fédératrices redonnent foi.
M.Sophie

jeudi, juin 22, 2006



Conseil municipal du 16 juin 2006
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Une maison individuelle, en bon état, libre de toute occupation, avec un jardin de 165 m2 a été vendue à la ville pour 369.900 euros plus une marge de négociation de 10% .
Quelle différence avec la maison Koubi payée 750000 euros quoique plus importante!
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Le nombre d'emplois dont le chef contractuel a été renvoyé approche la quarantaine.Ces renvois ont permis des affectations plus confortables, pour les filles des auteurs de site notamment.
Deux décisions de non renouvellement étaient prévues : pour madame Méraji et madame Malika Méziane. Or ces deux personnes avaient menacé de porter plainte contre un de leur chef, cher à madame le Maire en transit. Aussitôt madame Méraji a été informée du renouvellement de son contrat.
Le contrat de madame Malika Méziane n'est plus mis en cause, de plus à la demande de madame le Maire, il est tenté de lui attribuer un logement HLM.
Les renvois , les recrutements les attributions d'HLM, ne doivent pas se faire en fonction des servilités et des silences, mais seulement en fonction des compétences.
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Le 16 juin 2005, les bénis oui-oui du conseil municipal ont attribué à la société SA Renaud un important marché pour livrer plusieurs véhicules type fourgon température négative.
Pourquoi le bordereau des prix unitaires était il "exhaustif" pour ne pas dire limitatif?
Pourquoi l'achat sur catalogue avait-il été rendu impossible?
Pourquoi le bordereau ne comprenait-il pas de véhicules dont le volume utile n'aurait pas dépassé 10 m3, alors que le besoin du service restauration, avec les invités quotidiens du Maire s'élève à 15 m3?
Comment ce changement peut -il ne modifier en rien l'équilibre économique du marché initial, même si les montants restent inchangés?
L'avenant détruit l'égalité des candidats au moment de l'appel d'offre?
Pourquoi le surcoût dû à l'avenant qui n'est motivé que par la volonté des parties, n'est-il pas communiqué au conseil municipal dès le début de l'exposé?

Incident à la Défense
pour la fête de la musique
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.Vers 22h 30 des commandos violents ont agressé des spectateurs avec des bombes lacrimogènes. Des échaffourées ont éclaté dans la violence et la haine.
La foule, moins importante que prévu, a essayé de se réfugier dans des coins protégés. Mais les voyous l' ont poursuivie.
La police, gênée par les mouvements de foule, a mis du temps a se mettre elle-même en mouvement.
A l'occasion de chaque fête ou chaque spectacle à la Défense des violences éclatent.
Contrairement à ce que répéte un des producteurs, auquel on avait appris la leçon, le parvis de la Défense n'est pas un lieu pacifique, c'est un lieu d'affrontement. Les précédents ne manquent pas. La police le sait. L'EPAD fait semblant de l'ignorer. Beaucoup de riverains et de Putéoliens se sont bien gardés de participer à une fête qui n'était pas pour eux.

Affaire Koubi
quelques questions
qui exigent réponses
1 / L'acquisition de la villa Koubi a-t-elle été effectuée par acquisition amiable ou par préemption? Si il y a eu préemption, quel était le nom de l'acheteur?

2/ Quelle est la différence entre le prix d'achat et le prix des domaines? Madame le Maire en transit a parlé de 20%, son défenseur, au doux nom d'Albert, et madame Jeanne ont écrit 10% ; et le Parisien a dit 4%. Qui dit vrai? Pourquoi la mairie n'a t'-elle rien écrit sur le sujet notamment dans le procés verbal?

3/ Pourquoi madame le Maire n'a t-elle donné aucune indication sur le prix des aménagements extérieurs et intérieurs additionnés pour transformer une habitation en mini crèche de 15 lits, cas unique à Puteaux. Quelles sont les raisons de ce cas unique?

4/ Le prix total sera t-il supérieur au prix d'acquisition anormalement élevé, compte tenu de la disposition des lieux, peu d'espace devant, un jardin en pente derrière un bâtiment fait pour l'habitation, implanté dans un noeud de circulation intense, incompatible avec la présence d'enfants en groupe.

5/ Mr Koubi a t-il déposé une demande de logement HLM au moment où il vendait à la ville une villa libre d'habitation?

Le procès verbal du 3 novembre 2004 en effet écrit: un projet d'acte relatif à l'acquisition d'un bien en totalité, libre de toute occupation ou location 27 rue Gambetta.

Dès le 7 decembre 2004, Monsieur Koubi fait une demande de logement HLM, évidemment promis au moment de l'achat.

Des problèmes personnels l'ont obligé à retarder son arrivée en HLM

6/Combien de fois madame le Maire a t-elle déjeuné avec Monsieur Koubi et son copain à la flûte aiguë?

mercredi, juin 21, 2006

Après deux mois de silence sur l'affaire Koubi le Parisien se réveille pour s'abîmer dans l'approximation.

mardi, juin 20, 2006

séjours temporaires

Extrait du parisien en date du 16 juin
HAUTS DE SEINE
Maisons de retraite : les séjours temporaires se multiplient
Florence Hubin
Le Parisien


"A LA VEILLE de l'été, la majorité des places temporaires dans les résidences pour personnes âgées affiche complet. Pour les retardataires, ou pour ceux dont la santé ou la perte d'autonomie se serait subitement aggravée avant le départ en vacances des enfants, il reste encore quelques lits disponibles (voir encadré). Si elles existent toute l'année, ces places d'accueil temporaire sont en effet très demandées pendant la période estivale. Cela permet à la famille ou aux proches qui s'occupent d'un parent âgé quotidiennement de partir en vacances et de souffler un peu. Face à la demande, ce type d'accueil est encouragé par les pouvoirs publics et les nouveaux établissements en disposent tous ou presque. Dans les Hauts-de-Seine, une incitation financière a même été mise en place depuis l'année dernière, pour combler le manque à gagner que représente un lit laissé vide entre deux séjours temporaires : « Le département verse une subvention forfaitaire de 7 700 par lit d'accueil temporaire », explique Philippe Juvin, conseiller général en charge de la santé et de la solidarité. Cette mesure est issue des conclusions des Etats généraux de la solidarité qui avaient réuni professionnels et associations. Elle s'intègre aussi dans une politique orientée vers le maintien au domicile des personnes âgées, quand c'est possible : « Nous voulons proposer aux familles le panel le plus élargi, pour qu'elles puissent garder leur parent âgé. Or, il faut leur donner la possibilité de souffler », explique l'élu.
Des aides financières possibles Il faut savoir que les séjours temporaires fonctionnent avec les mêmes tarifs journaliers que les longs séjours. La personne âgée peut donc bénéficier de l'APA (allocation personnalisée d'autonomie) et, si ses ressources sont très modestes, demander l'aide sociale, même temporairement. Pour tout savoir sur les aides financières, renseignez-vous au service solidarité du conseil général ou au service de votre mairie qui s'occupe des personnes âgées : les fameux Clic, en français centres locaux d'information et de coordination gérontologique. Ils doivent pouvoir vous aider"

Madame le Maire-en-transit a déposé une plainte, contre monputeaux.com pour usurpation d'identité et complicité, relative à un commentaire laissé sur le blog de monputeaux.
Elle a choisit le commissariat de Puteaux ou elle est introduite.

Monsieur Lambliotte fait l'éloge d'un Gaullisme particulier
l
Le président de l'association à la mémoire du général de Gaulle n'a pas d'idéal. Comme monsieur Lambliotte lui même, il est seulement préocupé du sort de sa fille employée de mairie.Peut être ont ils l'avantage d'avoir des filles qui respectent leur père.

La grande salle à manger du Maire
est en service tous les jours en ce moment
Bon appétit mesdames messieurs

Koubi suffit
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La révélation à la population de l'acquisition par la ville, de la villa de M Koubi rue Gambetta connait un grand retentissement. La population est consternée.
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Le prix étonne. Il a été évidement reconnu par le service des domaines, sinon l'achat n'aurait pas pu se faire. Le prix de 760.000 euros parait excessif. M Koubi n'a pas vendu sa villa par souci de répondre au besoin de places en crêche.S'il avait trouvé un acheteur privé à meilleur prix, il n'aurait pas vendu à la ville.
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Au moment de l'acquisition, le Maire en place était le Maire actuel en transit, l'ancien Maire lui, était à l'hôpital.
La transformation de cette villa en crêche ne fut qu'un prétexte. La colline n'est pas le quartier où le besoin de places en crêche est le plus fort et le plus sensible.
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Plusieurs crêches anciennes présentent l'inconvénient d'avoir des escaliers Ce fut une faute.. L'escalier de la villa Koubi rendant l'accés aux étages difficultueux, surtout pour des tous petits, représentait une dévalorisation appréciable. Destinée à devenir une crêche, cette villa ne valait pas, en raison de son inadéquation, les 760000 euros, qui ont été versés par la ville.
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L'acquisition a été réalisée sans aucune étude de faisabilité de la transformation envisagée. La ville a acheté dans l'urgence sans se
soucier du reste.
Aujourd'hui deux ans aprés les réalités s'imposent.
Pour transformer cette villa, construite pour l'habitation et non pour le service public de la petite enfance, il faut engager de grosses dépenses pour de gros travaux.
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Le 15 juin les bénis oui oui du conseil municipal ont déja voté 650000 euros, presque autant que le prix de la maison. Dans ces conditions, n'eut il pas mieux valu raser la villa et essayer de construire une crêche vaguement fonctionnelle, dans cet espace exigu, au milieu d'un noeud de circulation automobile intense.
Mais alors, comment justifier cette acquisition dont la ville n'avait
aucun besoin?
Une acquisition dans des circonstances aussi défavorables ne pouvait pas avoir de justification d'intérêt public évident.
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Ce n'est pas fini, d'autre dépenses vont intervenir pour l'aménagement intérieur. Pour créer 15 lits, on aura dépensé plus que pour construire une crêche fonctionnelle de 60 berceaux .
Il n'y a qu'un seul gagnant dans cette ténebreuse affaire, c'est le vendeur, que les bénis oui oui ont désignés pour faire partie du conseil d'administration de l'OPHLM.
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Cet épisode, en espérant que c'est le dernier, issu de l'intimité entre monsieur Koubi et madame le Maire de passage, relève de la gestion sans rigueur.
Le dernier épisode? Peut être pas! Pourquoi Koubi,ancien propriétaire sans droit au relogement, ne demanderait il pas l'attribution d'un logement HLM, au détriment d'un sans logis, n'ayant jamais possédé de villa de sa vie.
A travers ces viles péripéties indignes, on voit à quel désastre collectif conduisent l'incompétence associée à l'ignorance et à l'imprudence.
La Voix

dimanche, juin 18, 2006




2006
Commémoration de l'appel du 18 juin 40
Une croix de Lorraine en plus
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Pendant les 35 glorieuses, le sénateur Maire de cette longue époque, a fait acquérir par la ville, ce qui deviendra le parc Offenbach. Dans ce parc un Monument à la mémoire du Général de Gaulle a été érigé. Une grande beauté marque ce lieu éblouissant.
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Le moulin acquis durant cette époque, le conservatoire aménagé également à cette époque, la chute d'eau en cascade réalisée aussi durant la même époque donnent à l'endroit une formidable force émotionnelle.
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Depuis l'esplanade où le Maire d'alors a fait construire le Monument avec une immense croix de lorraine, la vue s'ouvre sur tout l'éventail parisien avec ses temples et ses cathédrales.
Tous les ans la municipalité conduite par ce Maire a organisé une cérémonie publique, avec audition de l'appel du 18 juin.
Aprés la cérémonie un groupe de Gaullistes déposait une gerbe en forme de croix de lorraine.
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Les archives ont révélé que le président de ce groupe constitué en association, n'était qu'un Gaulliste posthume.
Une autre association pour la défense des valeurs du Gaullisme a été crée.
Ces Gaullistes authentiques agissent pour l'union de toutes les forces patriotiques et républicaines par dessus les divergences vieillies et dépassées.
Ils se fixent pour idéal d'élaborer, hors des sillons stériles du moment, un Puteaux pour tous, sous le soufle inspirateur des Lumières et du Gaullisme.
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Pas de dérive vers la droite ou vers la gauche. Cette rupture historique a eu son temps magnifique. Elle n'existe plus dans les profondeurs de la pensée populaire.
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Les fantassins Gaullistes et républicains de Puteaux pour tous veulent demeurer tendus vers leur élévation en direction des sommets.
Cette volonté intangible s'est inscrite en lettre de sang sur les murs de leur vie.
Porteurs de drapeaux triomphants, ils veulent le rassemblement de tous, Ils sont un des ornements de la ville.
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Charles Ceccaldi-Raynaud

samedi, juin 17, 2006

UN CONSEIL MUNICIPAL
DANS L'ENNUI DE LA MEDIOCRITE
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Hier 16 juin, le conseil a validé les questions à l'ordre du jour. Madame le Maire en transit disparaissait entre le secrétaire général et Ali Baba.
Au sujet de cet individu deux personnes dont le contrat ne devait pas être renouvelé ont été maintenues...
Entre les deux personnages qui l'encerclent, madame le Maire apparait comme un paon sans queue.
D'une voix éteinte et monocorde elle débite le texte préparé par son entourage. Les adjoints l'un aprés l'autre lisent à voix basse les introductions rédigées également par l'entourage. Ce ne sont pas des adjoints, ce sont des lecteurs.Pas de débat. On vote. Unanimité. Terminé.Les bénis oui oui ont levé le doigt.
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La représentante de l'oposition demande des explications sur les relations avec un nommé Koubi installé en HLM chez sa mère, sans doute provisoirement.
Madame le Maire a dû reconnaitre que monsieur Koubi a bénéficié d'un contrat informatique, auquel il a fallu mettre fin.
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Madame le Maire a été obligé de reconnaitre que la ville a bien acheté en novembre 2004 la villa de monsieur Koubi pour le prix d'environs 5 millions de francs. Aucun acheteur privé n'a proposé plus.C'est pourquoi il n'y apas eu préemption mais aquisition à l'amiable.
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Madame le Maire a du reconnaitre que la configuration de la villa avec ses escaliers représente une extravangance pour aménager une crèche. Les ambitions de la ville on été ramenés à 15 lits. Aucune estimation n'a été donnée au conseil municipal, selon nos informations sur le prix des aménagements.
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Le 3 novembre 2004 madame le Maire, n'est en fonction que depuis quelques mois.Pendant que son père est à l'hôpital, elle engage les formalités en vue d'acheter la villa de monsieur Koubi. L'ancien Maire des 35 glorieuses avait obstinément refusé cette transaction, proposée par sa fille. L'achat de la villa était tellement urgent, que prés de 2 ans aprés, la ville n'a encore rien entrepris.
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Madame le Maire voudrait disposer de quelqu'un d'assez obligé pour interpeller son père au conseil d'administration de l'office. Cette place d'administrateur peut être confiée à n'importe qui par le conseil municipal, même à un non élu comme monsieur Koubi.
De tradition elle revient à un élu. Monsieur Koubi a été choisi de préference à un conseiller municipal ou à un adjoint.
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On apprend que monsieur Koubi sur instruction probable de madame le Maire portera plainte. Mais que madame n'apparaitra pas. Comme elle n'a aucune connaissance juridique elle n'imagine pas qu'elle pourra être citée à l'audience.
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Dans ce cas elle viendra habillée de ses faux clinquants expliquer pourquoi monsieur Koubi a été préféré à un élu, pour représenter le conseil municipal.
Elle devra exposer quelles sont les raisons profondes qui l'ont amenées à aquérir dans la hâte la maison d'un particulier de sa connaissance en dehors de tout secteur d'aménagement.
La Voix

vendredi, juin 16, 2006

LA GRANDE SALLE A MANGER BARRICADEE
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Les portes latérales sont désormais fermées hermétiquement. L'air peut à peine pénétrer. Jeudi 15 le maire en transit déjeunait encore dans cette salle barricadée. Tout dictateur veut son bunker.
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Quand on est maladroit on le demeure. La lumière filtre au bas des portes. Elle traduit les présences cachées. Les victuailles arrivent par l'ascenseur depuis la cuisine. Tout le monde le voit. Tout le monde le sait. Les cuisiniers, les serveurs et leur chef sont les premiers à subir l'information.
Au besoin tout ce monde sous pression parlera quelque soit le commissaire.
En réalité, sauf exception ou invitation à l'extérieur, le Maire en transit se fait servir tous les jours, ainsi que ses amis, et son entourage, utilisés comme faux prétexte.
La population appréciera ce goût immodéré de la grande table gratuite, auquel répond celui du vêtement snobissimo.

jeudi, juin 15, 2006


De la jouissance d'une illusoire domination



La responsable des agents d'entretien figure au nombre des victimes du délit d'opinion, institué à la mairie. La sanction qui a frappé la responsable ne s'est pas limitée au déplacement. Pour l'humilier, elle a été sommée de prendre la balayette et de nettoyer en profondeur les WC.
Plusieurs autres victimes envisagent de monter une association, devant l'horreur des procédés employés. Cette anecdote mérite d'être connue et propagée. Elle révèle la petitesse d'un esprit sans culture, et la perversité d'un caractère dominateur et féroce, alimenté par l'ambition démesurée.
Les auteurs et les complices de ces vexations, d'un autre temps et d'un autre régime, verront à leur tour venir le grand balais des urnes.
En démocratie ce sont les électeurs qui détiennent le pouvoir. En république les plus humbles sont les plus forts.





Monsieur KOUBI a vendu sa villa à la ville.
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En relation avec madame Joëlle Ceccaldi monsieur Koubi a obtenu que la Mairie passe avec lui des contrats dans l'informatique.
Sa contribution paraît vite inutile. Ses honoraires ne sont pas gratuits. Il est mis fin au contrat avec monsieur Koubi, malgré le mécontentement de Joëlle Ceccaldi.
Monsieur Koubi se trouve contraint de vendre sa villa rue Gambetta. Il s'adresse à nouveau à son amie Joëlle.
De conciliabules en conciliabules, de repas en repas, madame Ceccaldi et monsieur Koubi obtiennent l'achat par la ville de la villa de ce vieil ami.
On explique au conseil municipal, que les critiques sur le manque de places en crèche commencent à intéresser l'opinion.
Certains s'étonnent q'une crèche puisse être installée dans la villa d'un particulier.
Aujourd'hui on apprend que seul quinze lits pourront être installés dans cette villa.
Monsieur est redevable envers Joëlle Ceccaldi. Le Maire en transit le fait désigner par les bénis oui oui du conseil municipal pour siéger au conseil d'administration de l'office, à la suite de la démission d'un administrateur retiré en province, et que l'on a contacté pour réaliser l'opération.
Monsieur Koubi a pour mission de gêner le fonctionnement de l'organisme. Il a commencé dès la première séance. Mais monsieur Koubi n'est qu'un petit supplétif, même pas un valeureux harki. Sa présence témoigne de la lâcheté de madame le Maire en transit, qui n'a pas osé se faire désigner elle-même
La Voix

LE BAC GARDE SON PRESTIGE

LE BAC GARDE SON PRESTIGE
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Le bac garde un immense prestige. Il témoigne que les études secondaires sont terminées.
Par ailleurs, il ouvre la porte aux études supérieures. Les études de ce niveau sont nécessaires pour les hauts postes et même pour les moyens. Les candidats au Bac se sont présentés en nombre. On parle de 5170000 candidats.
C'est la ruée vers le Bac. Il reste quelques malheureux qui ne parviennent pas à se hisser à ce niveau pourtant très moyen de nos jours.
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On peut se faire, il est vrai, une situation très bien rémunérée sans le bac, avec voiture et voyages lointains. Le cas est pourtant rare et peu accepté par l'opinion.
C'est ce que représente madame le Maire en transit.
La voix

mercredi, juin 14, 2006

PEURS D'AVENIR


PEURS D'AVENIR
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Madame Ségolène Royal a ouvert un site," désirs d'avenir". On pourrait appeler les sites de service de madame le Maire en transit :" Peurs d'avenir"
Pour ne pas salir ce site aprécié par la population pour son niveau et son objectivité, nous ne faisons aucune allusion à un site confidentiel et ordurier où s'empilent les injures infames, comme sur un tas de fumier puant.
Dis-moi qui te soutiens, je te dirai qui tu es.
Le temps s'écoule et charrie l'angoisse. Ce thème a fait réfléchir les candidats au Baccalauréat. Le temps exerce une telle pression psychologique sur les humains qu'il répant l'angoisse au-delà des candidats au Baccalauréat.
Les médiocres qui enferment madame le Maire provisoire dans leur haine misérable, comme la directrice de cabinet, commencent à s'interroger sur leur avenir, au fur et à mesure que le temps s'écoule, emportant tout sur leurs pas incertains.
On dit que le pouvoir rend fou. Rien n'est plus vrai. L'histoire du monde et notamment l'histoire antique, donne de nombreux exemples de dérive mentale due au pouvoir.
Les dépenses inconsidérées engagées pour la médiathèque, deux milliards de francs pour une seule façade, sans un résultat tangible, sont un défi à la raison.
L'association des jeunes en conseil qui ne conseille rien et qui rassemble plus d'adultes que de jeunes, sert de prétexte à des voyages luxueux et lointains. Destinations prestigieuses: Canada, Laponie, Australie, Afrique, Chine, Russie. Le nombre d'adultes qui font partie du voyage tous frais payés, en compagnie de madame le Maire en TRANSIT et envoyage , révèle que ces adultes, au premier rang desquels des conseillers municipaux, des fonctionnaires serviles, et même l'odieuse directrice, donnent au voyage son vrai motif et son vrai visage.
Même si les accompagnateurs représentent une impérieuse nécessité, le but de ces déplacements massifs et onéreux, est de récompenser des servilités ou des incompétences.
La municipalité a brillé par son absence le jour consacré à l'environement dans l'île de Puteaux sous un soleil brûlant.
Madame le maire, les adjoints, les conseillers municipaux ont préferé rejoindre l'Atlantique, ou aller ailleurs, plutôt que de témoigner par leur présence leur prétendu attachement à l'environnement
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Un torrent de renvois d'employés pour délit d'opinion hérisse la population. Quand les gens parviennent à pénétrer en mairie, ils traversent un rassemblement de policiers municipaux démesurés.On croirait rentrer au Kremlin.
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Pauvre mairie en décadence. Pauvre ville à l'abandon. Pauvre conseil municipal composé de bénis oui oui obéissants. Tout se dégrade, tout s'enlaidit. Les jares rouges donnent le niveau auquel la ville a été abaissée.
La Voix

lundi, juin 12, 2006

SALLE A MANGER

Le lundi 12 juin 2006 à midi, la salle à manger attenante au bureau du Maire a encore servi pour banquet réparateur, avec ou sans pretexte adapté.
Bon appetit madame.

dimanche, juin 11, 2006

Novecento, rythme des flots
NOVECENTO : PIANISTE

Une petite note pour un livre que j'ai apprécié au point de ne plus pouvoir le lâcher, la première page tournée.
J'ai adoré ce récit. Il est vite lu, mais il demeure en vous. IL TANGUE VOS SENS. Il vous transporte par l'élan de ses métaphores. Votre destination : l'essentiel.
Un bébé de migrants en partance pour les USA est abandonné sur la piano d'un virtuose : Danny Boodmann...à bord du Virginian.
Devenu génie incontesté du piano, le jeune Novecento n'a cependant jamais posé pied à terre. Né sur les flots, il n'en est jamais descendu.
La philosophie sous-jacente à la poésie d'Alessandro Baricco, telle que je la perçois, est la suivante : la circonscription du réel, à savoir la limitation des possibles est paradoxalement la condition qui va nous permettre une infinité de combinaisons réalisables à l'intérieur de ce périmètre.
C'est comme si les 88 touches noires et blanches étaient les unités de durée agréables et moins agréables imparties par la vie. Pas une de plus, pas une de moins.
A partir de ce donné, on compose à l'infini en ensorcelant le moins agréable pour le dompter, le tourner à notre avantage.
Par la finitude, l'immersion dans l'inifini des possibles. Pas l'infini des réalisations. Mais l'infini de la POSSIBILITE de leur réalisation. A nous de composer la mélodie du surgir de notre existence.
Passages que j'ai le plus appréciés :

" Mais comme beaucoup d'hommes habitués à vivre en uniforme, il avait fini par penser également en uniforme. C'est pourquoi il dit : "Novecento tout cela est absolument contraire au règlement". Novecento s'arrêta de jouer. C'était un petit garçon qui parlait peu mais apprenait vite. Avec douceur, il regarda le commandant, et il lui dit : "au cul le règlement." (p. 32)

"A présent, personne n'est obligé de le croire, et pour être exact, je n'y croirais pas moi-même si on me le racontait, mais la vérité vraie, c'est que ce piano commença à glisser, sur le parquet de la salle de bal, et nous derrière lui, avec Novecento qui jouait, sans détacher son regard des touches, il avait l'air ailleurs, et le piano suivait les vagues, il s'en allait d'un côté, revenait de l'autre, puis tournait sur lui-même, et filait droit sur les baies vitrées, puis, à un cheveu de la vitre, il s'arrêtait et recommençait à glisser doucement dans l'autre sens, je veux dire comme si c'était l'Océan qui le berçait, et nous avec, moi je n'y comprenais rien, [...] j'ai compris à ce moment-là, que ce qu'on faisait, c'était danser avec l'Océan, nous et lui, les danseurs fous, et parfaits, emportés dans une valse lente, sur le parquet doré de la nuit." (p.39)

" Imagine maintenant : un piano. Les touches ont un début. Et les touches ont une fin. Toi, tu sais qu'il y en a 88, là-dessus, personne ne peut te rouler. Elles ne sont pas infinies, elles. Mais toi tu es infini, et sur ces touches, la musique que tu peux jouer elle est infinie. Elles, elles sont 88, toi tu es infini.[...]
Mais si je monte sur cette passerelle et que devant moi se déroule un clavier de millions de touches, des millions, des millions et des milliards de touches qui ne finissent jamais (...)sur ce clavier-là, il n'y a aucune musique que tu puisses jouer, tu n'es pas assis sur le bon tabouret. Ce piano-là c'est Dieu qui y joue." (p.77)
Sophie pour la voix

Après le film de Chabrol, "l'ivresse du pouvoir" un remake avec le pouvoir de l'ivresse ?... à suivre...

à votre santé!

Convention santé

Pour trancher avec le pitoyable niveau de Madame le Maire en transit et ses obligés, nous vous transmettons la date et les intervenants de la prochaine convention UMP qui portera sur la santé.
Certains ont trouvé leur mandat dans une pochette surprise ou à l'intérieur d'un kinder, d'autres l'ont conquis par leur talent. Ainsi de mon collègue et ami Philippe JUVIN.
Le mardi 27 juin de 8h30 à 18 heuresAssemblée nationale, salle Victor Hugo101 rue de l’Université75007 Paris
Inscrivez-vous dès à présent :
par téléphone au 01 40 76 62 93
sur le site www.conventions-ump.org
Attention, inscription obligatoire.Une pièce d'identité sera demandée à l'entrée.
Le système de santé français a longtemps pu revendiquer, à bon droit, le titre de champion du monde : égalitaire, protecteur des plus faibles et des moins chanceux, garantissant à tous, sur tout le territoire, des soins de qualité, parmi les meilleurs du monde grâce à une formation médicale et une recherche pharmaceutique de pointe, et fondé sur les principes essentiels de liberté de choix du médecin par les patients et d’autonomie de la prescription par les médecins.
Ce système est malheureusement fragilisé aujourd’hui. Il ne sait pas assurer son financement. Il ne parvient pas à empêcher le développement d’inégalités sociales et territoriales. Il peine à répondre à des défis croissants comme le cancer et à en relever de nouveaux tels que le vieillissement ou l’obésité. Il est de moins en moins en phase avec les aspirations des professionnels de santé, tant en ville qu’à l’hôpital. Il accorde une place insuffisante à la prévention, ignorant ainsi le fait que la santé dépend aussi, sinon surtout, des conditions de vie : alimentation, comportements à risque, sécurité au travail, activité physique... Il n’est plus dans les meilleurs niveaux mondiaux en ce qui concerne la recherche.
Des plans de réformes se sont succédés sans discontinuer depuis 30 ans. Ils n’ont pas empêché la situation de se dégrader. Si la réforme de 2004 a posé des jalons significatifs sur la voie d’une meilleure organisation des soins et d’une plus grande maîtrise de la dépense, ils doivent toutefois être consolidés et leurs modalités améliorées. L’objectif est de garantir, sur le long terme, l’égalité, la qualité, la liberté et l’équilibre du système de soins dans un contexte certain d’augmentation des dépenses de santé et dans le respect des meilleures prescriptions éthiques.
Comment réconcilier notre système de santé avec ses idéaux de justice et d’excellence accessible à tous, tout en assurant sa pérennité financière ? Comment mieux prendre en compte les attentes des professionnels de santé ? Comment permettre à la France de retrouver le meilleur niveau mondial en termes de recherche et d’industrie pharmaceutique ? Les pistes de solution ne sont-elles que financières ? Comment mettre en œuvre une vraie politique de prévention et d’éducation à la santé ? Comment surmonter la coupure entre la ville et l’hôpital ? Quelles réformes faut-il entreprendre pour permettre à l’hôpital de remplir pleinement et sereinement ses missions fondamentales ? Quels doivent être les droits et les devoirs des patients ? Quelle place faut-il faire à l’évaluation et selon quelles modalités ? Comment rétablir en somme la confiance des patients dans le système des soins et des professionnels de santé dans les pouvoirs publics ?
Nicolas Sarkozy, président de l’UMP, ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de l’aménagement du territoire, vous invite à la Convention sur la santé organisée, en présence de Xavier Bertrand, ministre de la Santé et des solidarités, par Paul-Henri Cugnenc, secrétaire national de l’UMP en charge de la Santé, député de l’Hérault, président du syndicat des chirurgiens des hôpitaux de Paris et Philippe Juvin, professeur des universités, praticien-hospitalier, maire de la Garenne-Colombes, vice-président du conseil général des Hauts-de-Seine. Cette convention se tiendra à Paris, le mardi 27 juin de 8h30 à 18h00 à l’Assemblée nationale, salle Victor Hugo, 101 rue de l’Université, 75007 Paris.
Interviendront notamment :
Yvon Berland, président de l’université de la Méditerranée, président de l’Observatoire national de la démographie des professions de santé, Xavier Bertrand, ministre de la Santé et des solidarités, Christian Bréchot, directeur général de l’INSERM, Michel Chevalet, journaliste scientifique, auteur de l’ouvrage Quand tout bascule, Pierre Costes, président du syndicat de médecins généralistes MG France, Paul-Henri Cugnenc, secrétaire national de l’UMP en charge de la Santé, député de l’Hérault, président du syndicat des chirurgiens des hôpitaux de Paris, Jean-François Dhainaut, professeur des universités-praticien hospitalier, président de l’université René Descartes, Francis Fellinger, président de la conférence nationale des présidents de commission médicale d'établissement des centres hospitaliers, Françoise Forette, professeur de médecine interne et de gériatrie à l'université René Descartes, conseiller de Paris, Philippe Froguel, chef du service de génétique de l’université Imperial College (Londres), directeur de recherche au CNRS, directeur du département de génétique à l’institut Pasteur de Lille, Michel Hannoun, médecin, président de la fédération des métiers de la santé de l’UMP, Elisabeth Hubert, médecin, directeur des nouveaux projets, des affaires publiques et du développement de Fournier Pharma, ancien ministre de la Santé publique et de l’assurance maladie, Philippe Juvin, professeur des universités-praticien hospitalier, maire de la Garenne-Colombes, vice-président du conseil général des Hauts-de-Seine, David Khayat, président de l’Institut national du cancer, professeur de médecine à l’université du Texas à Houston (Etats-Unis), conseiller permanent de la mission interministérielle pour la lutte contre le cancer, Joël Ménard, directeur du laboratoire de Santé publique et informatique médicale de l'université Paris 5, ancien directeur général de la Santé.

samedi, juin 10, 2006

Salle à manger
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Le 6 juin repas collectif dans la grande salle à manger. Le 10 juin nouveau petit banquet dans le même grand espace, sans compter d'autres rassemblements de convives. Pour la reflexion, la table couverte de victuailles est elle le meilleur endroit pour des décisions réfléchies?

Explications pour demeurés politiques
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Le père d'une employée municipale, monsieur Lambillotte, et un employé de l'imprimerie municipale, monsieur "Wassilia" sont demeurés un temps silencieux.
Madame la directrice de cabinet, avec son sourire crispé, sa férocité et sa nullité, le tout à l'image de sa patronne en titre, a dû les activer.
Du coup, ils ont rédigé en hate, sur les mêmes sujets, chacun un article, à peu près identique à l'autre.
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.Le premier sujet abordé traite de l'absence de trois élus socialistes, lors du vote du budget communal. Les deux internautes, sur injonction, se sont noyés dans la même confusion tourbillonante.
En la matière, il demeure essentiel et nécessaire de distinguer l'insignifiance ridicule de l'absence elle-même et l'importance de sa signification politique. Cette distinction fondamentale a échappé aux deux plumitifs de circontance. Circonstanciés, leurs écrits sont circonscrits par leur médiocrité.
La voix réaffirme que cette absence n'a aucune importance numérique, puisque l'éventuelle présence des 5 élus socialistes, n'aurait pas permis de faire rejeter le budget. Tout simplet du village internet comprend cette conclusion irréfutable.
En revanche la signification politique de l'absence honteuse d'un opposant le jour du vote du budget sans procuration préalable, s'apparente à une désertion. Le plus inculte des incultes comprend cette différence de nature et de degré.
Le deuxième thème de la critique porte sur la médiathèque.
Les deux affidés croient trouver une autre contradiction sur le coût de la transformation de la façade principale. Madame le Maire et son entourage ont laissé entendre au conseil municipal et sans doute au Prefet, que ces travaux ne coûtaient que 200 000 euros. C'est le chiffre qui a été naturellement repris par tout le monde. Or ce chiffre est trompeur et mensonger.
L'avenant en question s'élève a 7 millions d'euros, divisés en deux parties de 3,5 millions. La destination de chacune de ces deux sommes n'est pas donnée. On sait seulement que le tout est destiné à la médiathèque.
L'autorisation de programme est passée de 21 à 25 millions d'euros. Toutes les dépenses ne sont encore ni connues ni évaluées, notamment la longue interruption des travaux ordonnée, si imprudement, par madame le Maire.
On pouvait approuver, pour l'embellisement pourtant contestable d'une façade de la médiathèque, une dépense de 200 000 euros. On ne peut approuver un dépassement de trois millions et demi d'euros, encore moins de sept millions..
Qui peut accepter une dérive aussi dangereuse? La population, toutes tendances confondues, ne peut que désavouer une gestion à gros risques, conduite au gré des caprices de madame le Maire et de sa directrice, chacune en transit.
Messieurs Lambillote et "Wassilia", tous les deux à la merci de la Mairie, ont bien fait de rappeler, sans le vouloir, une incohérence périlleuse, qui discrédite à jamais la municipalité.
Quand on est nul, et qu'on agit seulement par petit calcul, ou euphorisé par quelque boisson, il arrive qu'on favorise involontairement l'adversaire.
Merci à vous.
La Voix

vendredi, juin 09, 2006

Entre absent et inconscient
Un élu peut être absent, si il est absorbé par un autre mandat.Cette absence ne peut être durable, comme le développement durable, selon le vocabulaire écologiste .
Il n'appartient pas au porte parole du candidat socialiste, battu dès le premier tour du scrutin cantonal, de donner des injonctions de démission. Dans la doctrine socialiste il est courant que l'élu qui gène soit éliminé par des moyens divers.
Plusieurs élus socialistes, conseillers municipaux de Puteaux, ont été absents le jour du vote du budget communal, sans donner de procuration. Cette désertion devant l'ennemi ne relève plus de l'absence, mais de l'inconscience.
A vouloir donner des leçons, quand rien ne vous qualifie pour le faire, sauf une série de défaites tout au long des 35 glorieuses, on fini par être l'arroseur arrosé.
Avant d'accuser le vainqueur, il faut procéder à une detertion de son esprit encombré
sauf à appartenir, à ce qu'un philosophe contemporain a appelé " la gauche folle".
Quand on ne peut pas rentrer dans une assemblée en qualité d'élu, on cherche à y pénétrer en qualité de photographe, ou de schtroumpf grincheux.
La voix

Podcast du Professeur Juvin relatif à la prise en charge d'Alzheimer

http://solere.blogs.com/boulogne/2006/06/la_maladie_dalz....
Verbatim : "derrière tout cela transparaît une philosophie, c'est que les personnes âgées, ce n'est pas à l'état de s'en occuper, c'est d'abord à leur famille" Philippe Juvin

mercredi, juin 07, 2006

Déjeuners en Mairie,
Aujourd'hui, 6 juin, la grande salle à manger du maire, était occupée par des invités.
Invitations. Invitations. Elections. Deception.

mardi, juin 06, 2006

Oui, c'est moi
Le rapport de la chambre régionale des comptes n'est pas accablant pour le Président du SICUDEF, il est accablant pour les autorités de tutelle et de contrôle, de l'époque de la mise en place du chauffage urbain à la Défense, dans un temps où le SICUDEF n'existait pas encore.
Pourquoi le propriétaire du site Mon Puteaux, avec ses goûts du possessif, ne publit-il pas le rapport conclusif du comité du SICUDEF, adopté à l'unanimité, mais seulement la lettre d'introduction?
Oui, c'est à moi et à tous les administrateurs du syndicat que reviennent les mérites éminents ci-après:
  • Le mérite d'avoir mis fin à 37 ans de gestion synonyme de non- gestion, sur la base d'un cahier des charges établi par des concessionnaires prédésignés par l'EPAD et l'Etat, sans concurrence, aucune.
  • Le mérite d'avoir demandé, même si ce fut en vain, que le tarif excessif du concessionaire initial soit diminué par les autorités qui l'avaient mis en place.
  • Le mérite d'avoir rétabli le chauffage dans l'urgence à titre provisoire, après l'explosion, et ensuite à titre définitif par la voie de l'appel à la concurrence, sans qu'aucun recours ne soit introduit par quiconque, ni par aucune autorité de tutelle,ni par aucun concurrent, ni à la demande d'aucune autorité de contrôle.
  • Le mérite d'avoir fait face aux conséquences d'une formidable explosion due à deux causes: le mélange du charbon et du gaz imposé par l'Etat et l'insuffisance manifeste de formation des employés sur place, du concessionaire dans la nuit du drame.
Deux pères de famille ont été tués. Il n'y a eu aucune constitution de partie civile pourquoi?
  • Le mérite d'avoir abaissé d'autorité le prix de la chaleur de 10%, sous forme d'avenant, présenté par le Président, au nouveau cahier des charges.
  • Le mérite d'avoir communiqué à tous les candidats à l'appel à la concurrence, la présence de 100 millions de francs dans le compte de réserve au moment de la consultation, malgré une critique postérieure inattendue. La transparence qui avait manqué pendant 37 ans a été rétablie en pleine lumière.
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Le parisien s'est permis de parler de rapport accablant en se trompant de cible, par erreur ou volontairement. Cet article fait l'objet d'un examen par des pénalistes.
Si le site MonPuteaux.com veut, lui aussi, après le SICUDEF, faire preuve d'objectivité, qu'il publie dans son intégralité le rapport conclusif du SICUDEF.
Nul, surtout quand il est journaliste, ne doit prendre de liberté avec l'impératif d'objectivité.
Or la vérité, c'est que malgré la pesanteur d'un contrat initial, rédigé par les concessionaires eux-mêmes, avec l'accord de l'EPAD et de l'Etat, avant la création du SICUDEF,le syndicat a réussi un retour à la concurrence, a réussi à rétablir l'égalité des candidats, a réussi a diminuer le prix de la chaleur de 10%, a réussi à rétablir le chauffage dans les meilleurs délais et dans des conditions conformes au droit, comme l'ont écrit les deux plus grands professeurs de droit en la matière.
Charles Ceccaldi-Raynaud

lundi, juin 05, 2006


Conclusions

Madame le Maire s'est attribuée le mérite de la bonne gestion financière, dont la revue Challenges s'est fait l'écho.

De nombreux démentis et d'abord celui de Challenges, ont obligé madame le Maire-en transit, prise en flagrant délit d'erreur, à inventer un second mensonge.

Elle voudrait faire croire qu'à l'époque du budget 2004, qui provoque les éloges de Challenges, elle était premier adjoint, chargé des finances. C'est l'époque où elle confondait les francs et les euros.

En vérité le budget 2004 a été élaboré par son père et non par elle, et à aucun titre.

Elle, elle vient de majorer de près de 5% le suplément d'impôt que le contribuable devra payer en 2006.

Ainsi, elle ne l'augmentera pas dans la période pré-électorale de 2007.

Il ne faut pas se parer des plumes du Paon.

La Voix


dimanche, juin 04, 2006

RE DROIT DE REPONSE




Dès l'année qui précède l'élection
Publications et festivités entrent dans les comptes de campagne
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Les publications municipales possèdent toutes un aspect électoral prédominant. Le Puteaux infos, l'infoscope, la saison culturelle, le programme sportif et toutes les autres publications en grand nombre, n'ont qu'une mission cacher l'inconsistance de madame le Maire et la nullité de son entourage le plus proche, sous une pluie de louanges trompeuses, et de compliments mensongers.
Certes, l'information conserve ses droits. Mais l'information ne peut en permanence s'assimiler à la désinformation, en cachant les fautes, ou en les rejetant sur d'autres, en ventant ce qui d'évidence est mauvais, ou en s'attribuant des mérites qui reviennent à d'autres.
Madame le Maire n'écrit rien. D'autres plus ou moins médiocres écrivent pour elle, sous son nom.
De même les goûters, les banquets, les repas quasi quotidiens dans la grande salle à manger du Maire, les distributions de cadeaux, les paillettes, les fanfreluches, toute cette débauche d'agitation exagérée, amplifiée, démesurée représente une forme plus oppressive de propagande.
Certes par des fêtes et des céremonies empreintes de simplicité, il faut développer le sentiment de même appartenance, ce que font au niveau de leurs moyens toutes les mairies de France.
Cependant quand on croit qu'un invité représente une voix et surtout, quand, par maladresse, on le lui fait sentir, ce n'est plus un lien que l'on veut établir, c'est une corde que l'on cherche à nouer.
Mais le peuple possède une intelligence souvent supérieure à celle dont disposent certains de ceux qui le dirigent, parfois par accident ou par une étincelle du hasard.
Aux regards trompeurs, aux visages embarassés, aux mains molles ou rétives, aux vêtements tape à l'oeil et onéreux, le bon peuple distingue tout de suite si on lui donne par amour ou par petit calcul personnel.
Entre l'amour de soi et l'amour des autres, il y a une petite nuance, une légère différence, une lointaine raisonance, que l'invité ressent tout de suite. Il sait qu'on lui joue la comédie et le courant ne passe pas.
Attention! A la fin de l'année les dépenses de propagande ,dissimulées sous un pretexte fallacieux même bien aménagé, rentrent dans les comptes de campagne.
Au temps des 35 glorieuses il n'y avait plus aucune festivité d'aucune sorte pendant l'année qui précédait l'élection.
Les fonctionnaires ne doivent pas participer à l'infraction. Un ordre ne s'applique pas lorsque il est illégal.
La population doit exercer sa surveillance irremplacable sur le respect de la légalité.
La Voix

samedi, juin 03, 2006

Un grand mariage
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Samedi trois juin, deux employés municipaux, Stephanie et Thierry se sont unis dans le mariage, et ont communié à l'Eglise sainte Mathilde.
Nous formons pour eux des voeux de bonheur.
Leur amour sera un grand amour. Selon la formule de l'évangile, ils seront deux dans un même être.
Au moment où le mariage, qui est pourtant un sacrement, connaît un recul provisoire, Stephanie et Thierry ont donné l'exemple contraire. Ils s'aiment, ils se marient.
Ce sont tous les deux des employés modèles et des citoyens exemplaires.
Leur bonheur a parcouru toute la salle des amis, les vrais, rassemblés dans l'église.
Il est dommage que la mairie ait cru devoir envoyer une de ses espionnes au visage lugubre, seule personne à ne pas être invitée. Elle n'attira sur elle, fausse dévote en service, que des regards de mépris.
Sur les escaliers de l'église et sur le trottoir tous les amis nombreux, sincères, émus, honnêtes, ont fait cortège.
Les photographes ont immortalisé l'image splendide d' un couple uni, dont la beauté morale était amplifiée par leur beauté physique.
La Voix
nous publierons les photos prochainement.